La peau délimite la frontière entre le corps et le monde exterieur. C’est l’organe avec lequel on ressent et touche le monde. Mais c’est aussi l’enveloppe d’après laquelle le monde nous juge.
Et quand la peau rougit, gratte et brûle, c’est tout l’être qui souffre.
Voici un petit hommage aux grands atopiques qui doivent supporter une peau tyrannique.
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